Château Sage

CHATEAU SAGE est une association créée en 1929 qui a pour but la gestion d’un établissement destiné à apporter une prestation de service aux personnes en difficultés, adolescents ou adultes.

L’Association gère un établissement et deux services de proximité pour une autorisation globale de 113 jeunes.

L’Association Château Sage est déclarée à la Préfecture de la Haute Garonne le 8 juillet 1929
et enregistrée sous le n°1237. Les statuts de l’Association ont été modifiés le 8 juillet 2008
sous le n°W313009640. Son siège social est sis 13 rue Bayés, à Toulouse.
Le Conseil d’Administration est composé d’un collège de personnes physiques et d’un collège
de personnes désignées (Municipalité de Toulouse).Conformément aux nouveaux statuts, l’Association a pour but :
« De manière générale, l’Association a pour but la gestion d’un établissement destiné à apporter
une prestation de service aux personnes en difficulté, adolescents ou adultes des
deux sexes, grâce à des moyens et à des stratégies de «soins» et « d’éducation » sociaux
et/ou médico-sociaux, tels que définis dans le projet d’établissement et permettant l’accès à
la citoyenneté de la personne sujet de son développement. »
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L’association gère en effet un établissement et deux services de proximité pour une autorisation
globale de 113 usagers.
Cette spécificité, construite dans l’histoire de l’évolution de cet établissement, de ses pratiques
et des troubles traités, lui fait occuper une place identifiée sur le champ de la prise en
charge de jeunes très gravement désinsérés du tissu social, scolaire, pré professionnel, sanitaire
et souvent exclus ou refusés par d’autres structures médico-sociales ou sanitaires. Un
certain nombre de valeurs et d’engagements en découlent :
– C’est au projet de s’adapter aux problématiques des jeunes et à leurs évolutions et non
l’inverse,
– L’établissement rejette toute forme de discrimination ou de sélection : un jeune qui se présente
aux rendez-vous proposés pour l’admission, se voit systématiquement proposer une
offre d’accompagnement,
– Il n’est pas mis en place de périodes dites d’observation, mais des rendez-vous destinés à
construire les modalités d’un projet singulier,
– Il n’est pas pratiqué d’exclusion, conformément aux textes en vigueur,
– Aucun dogmatisme n’est soutenu, la pluralité des approches théoriques cohabite pour enrichir
les solutions possibles.
– La promotion de la bientraitance est une réalité